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Le Chant des Villes


Le chant des villes


Eraillé et lancinant, il croît

Comme un bourdonnement

Hantant les rues du matin au soir.


Annihilant le rythme biologique

Noyé dans le brouillard malodorant

Tempête-t-il aux heure de pointe.


Dévorant le temps sans raison

Et dédaignant le charme des saisons

Sanglote le chant des villes.


Vagabonds, clochards, mendiants,

Illuminations richissimes

Luttent sans affrontement.


Le chant des villes

Eclaboussé de lumière artificielle

Souffre de discorde et vacille.







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